The symbol of Lyon and the seat of its government is a stunning 17th-century building with a history of swamps, fires and revolutions.
Be sure to visit the City Hall of Lyon (Hôtel de Ville de Lyon) on your journey through this historic city. The magnificent structure has a rich legacy of stories and an elegant façade that causes visitors to stop and stare. Come to see the stunning exterior, then explore the surrounding square to see further examples of gorgeous Lyonnais art and architecture.
Walk up to the hall from Place des Terreaux, the spacious plaza in central Lyon. The area was once just a swampy pit, eventually filled in during the 16th century. Admire the features of the hall, which was built between 1646 and 1651, then rebuilt after a fire in 1674. Since then, the square was used as the site of executions during the revolutionary era.
Bring your camera for photos of the stunning façade, which is covered in intriguing artistic features. The four sets of arched windows on the bottom floor are topped with medallions depicting the Bourbon dynasty, while the symbolic lion of the city can be found carved above window pediments. Crane your neck upward to look at the center of the building. A belfry and clocktower stand above the statue of King Henry IV riding a horse.
For most of the year, the Hôtel de Ville is open only for legal and governmental matters. Come to the city during the European Heritage Days in September, however, and you will be able to glimpse the ornate interiors of this stunning building. A gilded reception room with numerous crystal chandeliers is just one of the hall’s numerous highlights.
Take some time to explore the Place des Terreaux. The Bartholdi Fountain, designed by the artist behind the Statue of Liberty, is a magnificent sculpture depicting the four tributaries of the Garonne River as wild horses. Come to the square in December for the awe-inspiring Festival of Lights.
The City Hall of Lyon has its own subway stop, making it easily accessible on public transportation. Walk here from Old Lyon, on the other side of the River Saône, in about 20 minutes.



















































![La Cour des Voraces est une cour d'immeuble lyonnais, célèbre pour son monumental escalier de façade de six étages (escalier à volées libres). C'est une impressionnante traboule qui permet de passer du 9 de la place Colbert au 14 de la montée de Saint-Sébastien ou au 29 rue Imbert-Colomès. Située sur les pentes de la Croix-Rousse, la Cour des Voraces est un symbole lyonnais. Construite vers 18401, c'est un bel exemple d’une architecture populaire dite « canuse », liée à l'industrie de la soie qui a profondément marqué le quartier. Mais c'est également un lieu qui symbolise quelques grands moments de l'histoire lyonnaise. La révolte des Canuts[modifier | modifier le code] Une plaque commémorative indique que « Dans la cour des Voraces, ruche du travail de la soie, les canuts luttaient pour leurs conditions de vie et leur dignité ». La cour des Voraces tient certainement son nom d'un groupe d'ouvriers canuts nommés les Voraces, qui s'illustrèrent par leurs insurrections républicaines de 1848 et 1849.
On raconte que la Cour des Voraces (également appelée « Maison de la République ») a servi de refuge aux ouvriers canuts lors de leurs révoltes3. Cette cour devint célèbre, dit-on, par une bataille qui opposa les canuts aux soldats de l'armée régulière[réf. nécessaire]. Compte tenu de la date de construction, il peut s'agir de combats ayant eu lieu lors de la seconde insurrection des Voraces4 en 1849. Une autre hypothèse est évoquée : l’immeuble aurait abrité la loge d’une organisation mutualiste de Canuts : le Devoir mutuel. Le mot « Dévoirant » - c’est-à-dire les membres du Devoir mutuel -, déformé, a fini par donner le mot « Voraces ». Il se dit aussi que le mot "voraces" est issu du fait que ces canuts luttaient contre la diminution du volume du pot de vin. En effet le pot de vin devenait de plus en plus petit, mais le prix restait inchangé. (cf. Les Voraces (Lyon)) Seconde guerre mondiale.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les traboules lyonnaises, lieux sombres et secrets (peu connus des étrangers) dont la configuration favorisait les activités clandestines, ont permis aux réseaux de résistance d’échapper à la surveillance de l'occupant allemand. La Cour des Voraces est souvent évoquée comme symbole de cette résistance5. Plus récemment[modifier | modifier le code] En 1995, l'association Habitat et Humanisme dirigée par le père Bernard Devers rachète le lieu et lance des travaux de réhabilitation de la cour qui devient alors un symbole de l'habitat social3, et les gones du quartier retrouvent les joies du « débaroulage » (dégringolade en parler lyonnais et franco-provençal).
La Cour des Voraces](https://mediaim.expedia.com/destination/2/57bfc91def95553508c875df81d3dbe0.jpg?impolicy=fcrop&w=900&h=506&q=mediumHigh)









